Si le travail du correcteur se voit surtout quand il échoue, il est bon de rappeler qu’il réussit le plus souvent. En voici quelques exemples.
« [Grâce au correcteur] Vous n’avez pas lu […] dans ce titre de une, qu’une idée avait été “couronnée d’insuccès”. Ni cet entrefilet selon lequel “on ne traite pas des lois, mais de l’esprit des loirs”. Vous n’avez pas lu qu’à ce moment de la séance, l’un des individus présents “s’est levé comme un seul homme”. Non plus que les artistes associés à un projet dont il était question “réaliseront une œuvre chacun, avec la participation d’enfants qui seront mises aux enchères à 14 h”. Et si l’on remonte à quelques années, l’une de mes préférées a toujours été la fois où quelqu’un avait tenu à remettre “l’église au milieu du virage”… »
« Une année sous de bons hospices », La Liberté (quotidien de Fribourg, Suisse), 28 janvier 2023.
Article signalé par une consœur.