Je viens d’adhérer à l’Association des correcteurs de langue française (ACLF) et de participer à ma première assemblée générale.
L’ACLF réalise, depuis 2008, un excellent travail de promotion du métier (en insistant sur son exigence professionnelle) et de fédération de ses membres : échange d’informations et de conseils techniques, mise en commun de sources documentaires, entraide, lutte contre la dégradation des conditions de travail, etc. Elle représente aussi la profession auprès des employeurs et des instances publiques traditionnelles.
Elle organise également des webinaires de qualité, qui permettent non seulement des échanges entre correcteurs sur certains aspects du métier (nous n’avons pas tous la même expérience, selon les secteurs où nous exerçons), mais aussi des contacts avec d’autres professionnels : auteurs, traducteurs, graphistes, etc.
C’est dans ce dernier cadre que l’ACLF m’a invité, l’an dernier, à donner une visioconférence en deux parties sur l’histoire du métier de correcteur (voir mon article), sujet sur lequel je mène des recherches depuis quatre ans et qui sont l’objet de mon blog. Une expérience nouvelle pour moi et que j’ai beaucoup appréciée. C’est à cette occasion que j’ai pu mieux apprécier l’engagement de l’association et que j’ai décidé de la rejoindre.
Vous pouvez suivre l’activité de l’ACLF sur LinkedIn, sur Facebook ou y adhérer à votre tour.